fluthier

Just another WordPress.com site

Archives de la catégorie “Flutistes”

Ton Modeste

Ton Modeste

Ton Modeste: L’homme qui a fabriqué les flûtes d’Eugène Mona. C’est aussi lui qui a financé son premier album, en vendant sa voiture. C’est une histoire de famille, puisqu’il a épousé la sœur de Mona ….Un homme à connaitre. Il a une approche chromatique de la flûte. Ce qui qui enrichit les possibilités d’expressions musicales. Il est capable de jouer  » Night in Tunisia  » façon flûte des mornes.

Merci Dominick Pilon pour l’info.

Eugène Mona

eugene mona

Le 21 septembre 1991, Eugène Nilecam alias Eugène Mona cassait sa flûte en une note éternelle. La Martinique, la Caraïbe pire, le monde perdaient alors un nègre fondamental, un tuba identitaire.
Mona était un symbôle de paradoxe…ancré dans la tradition mais avant-gardiste jusqu’aux bouts des doigts. chercheur obstiné…il était torturé par une interrogation permanente. L’homme aux pieds nus offrait son souffle et donnait vie à la flûte des mornes pour communiquer avec l’âme de la terre, pour donner du sens à son positionnement dans l’espace. La musique était pour lui un vecteur, il l’a sublimée.

G.Degras.

La suite sur le site de l’artiste :

http://leritaj-mona.blogspot.fr/

Max Cilla

G_MUSIC_MAX

Maître  de la flûte traditionnelle, que son pays nomme « Le Père de la Flûte des Mornes ». Les Mornes désignent les régions montagneuses aux Antilles, les hauteurs du pays. C’est aussi la campagne profonde, « les grands bois » qui inspirent des rêves mystiques et animent l’imagination des conteurs et des poètes.

La suite sur le site de l’artiste.

http://max-cilla.com/

Dédé Saint-Prix

DDSP

André Saint-Prix est né au François, commune du littoral atlantique de la Martinique, berceau de la haute taille (appelée quadrille à la Guadeloupe) Nourri de tradition populaire, d’humour et de cocasserie, de l’humeur railleuse du carnaval, des ambiances joyeuses des bals, des mariages… et des fêtes dominicales, il rencontre le chouvalbwa, manège de chevaux de bois actionné à force d’homme et au cœur duquel jouait l’orchestre qui imposait sa cadence enlevée. « Je peux dire que je risquais n’importe quelle raclée pour aller pousser le manège et jouer du tambour quand j’étais môme ».

Suite sur le site de l’artiste.

http://www.ddsaintprix.com/

Navigation des articles